Notre sélection de ressources documentaires professionnels

Activité physique et sédentarité de l’enfant et de l’adolescent. Nouvel état des lieux en France. Report Card 2022.

Ouvrage – ONAPS, Université Clermont Auvergne – 2022

Ce rapport propose pour la quatrième fois depuis 2016, une évaluation de l’activité physique et de la sédentarité des enfants et des adolescents français.

63 p., bib., fig., tabl., graph., stat, ill. en couleur

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10 minutes sur les compétences psychosociales

IREPS Bretagne – 2022

Les compétences psychosociales, de quoi parle-t-on ? Et pourquoi les développer ? Avec qui ?

Vous vous êtes peut-être déjà posé ces questions… Vous avez 10 minutes ? Le Pôle ressources en promotion de la santé Bretagne vous accompagne pour faire le point avec un outil interactif. Laissez-vous guider en cliquant sur l’image ci-dessous :

10 minutes sur les CPS

Cet outil définit les CPS afin de mieux comprendre de quoi il s’agit, explique l’intérêt de développer de telles compétences chez les individus avec des exemples concrets de la vie courante et vous offre des ressources utiles pour approfondir vos connaissances du sujet ou pour vous accompagner dans la mise en œuvre d’un projet sur les CPS.

Les enfants de moins de 6 ans et les écrans numériques : à chacun son rythme, d’après l’enquête Elfe

Kevin Diter (DEPS, Ined), Sylvie Octobre (DEPS) – Insee Références – Édition 2022 – Éclairages – Les enfants de moins de 6 ans et les écrans numériques…

Les recommandations en matière éducative prescrivent généralement de maintenir les enfants de moins de trois ans éloignés des écrans et d’accompagner très progressivement leur insertion dans leur quotidien dans les années qui suivent. La réalité, telle que décrite par la cohorte Elfe, est différente : à deux ans, les trois quarts des enfants sont maintenus à distance des écrans numériques (hors télévision), mais dès l’âge de trois ans et demi, plus de quatre sur dix en utilisent régulièrement et plus de la moitié à cinq ans et demi. Durant les six premières années de la vie, seuls quatre enfants sur dix sont durablement maintenus à distance des écrans numériques et plus de cinq sur dix augmentent, parfois fortement, leur temps d’écran. À l’inverse, un enfant sur dix avait une utilisation très développée dès deux ans et voit sa consommation diminuer. Ces trajectoires dépendent non seulement des caractéristiques sociales des familles, notamment de leurs ressources économiques et culturelles, de la place de la fratrie mais également des pratiques des parents, qu’elles soient individuelles ou partagées avec l’enfant avant ses trois ans.

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Pour en savoir plus

 

Parler plusieurs langues en famille : faut-il se fixer des règles ?

Max Antony-Newman, Sheffield Hallam University

Les derniers résultats de la recherche sur l’apprentissage des langues invitent à dépasser un certain nombre d’idées reçues sur la parentalité et le plurilinguisme. Quelques éclairages.

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Grandir avec les écrans ?

Elisabeth Baton Hervé, éditions Eres

Grandir avec les écrans ? Ce qu’en pensent les professionnels de l’enfance.

 

Baromètre des violences éducatives ordinaires

La Fondation pour l’Enfance, engagée dans la lutte contre toute forme de violence envers les enfants, lance une grande enquête sur l’ancrage des violences éducatives ordinaires dans la société française.

Objectif : sensibiliser le grand public sur l’impact de ces violences dans le développement de l’enfant et donner des clés aux familles pour une éducation bienveillante.

Menée par l’IFOP auprès 1 314 parents d’enfants de 0 à 10 ans, les chiffres relevés restent inquiétants : près de 8 parents sur 10 déclarent avoir recours à une violence éducative ordinaire, qu’elle soit physique ou morale. La Fondation pour l’Enfance appelle les pouvoirs publics à agir et partage son plaidoyer pour une éducation sans violences.

Intégralité du baromètre disponible sur ce lien

 

Les compétences psychosociales : état des connaissances scientifiques et théoriques

Ce document, qui est destiné aux décideurs et aux acteurs de terrain, fait le bilan des connaissances scientifiques sur les CPS, et fournit des premiers repères pour l’action et la décision. Conçu par Santé publique France avec la collaboration de plusieurs chercheurs, acteurs de terrain et décideurs, il est organisé en huit chapitres.

Le présent rapport et sa synthèse (consultable sur le site de Santé publique France) constituent un cadre de référence théorique ; ils seront complétés ultérieurement par des guides et des supports pratiques, plus opérationnels. Ils contribuent au partage d’une vision commune sur les CPS, afin d’agir tôt, tout au long du développement de l’enfant et dans tous les milieux, dans un objectif générationnel, d’une nouvelle génération bénéficiant d’un développement des CPS tout au long de son parcours.

135 p.

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De quoi as-tu besoin?

Tous les spécialistes de l’enfance s’accordent sur une chose : la qualité des premiers liens entre un parent et son enfant, l’attention qui lui est accordée, la sécurité affective qui lui est donnée, sont essentiels pour son épanouissement. Il n’existe pas de réel mode d’emploi car chaque adulte et chaque enfant est différent. Mais il existe désormais au moins deux certitudes : la petite enfance constitue une période cruciale dans la vie d’un être humain, et les violences éducatives, notamment au cours de cette période, ont des effets délétères massifs, à très long terme, sur le développement de l’enfant.

Permettre aux parents de mieux comprendre le développement et les réactions d’un enfant constitue un puissant moteur pour renforcer les liens parents-enfants. C’est l’ambition de notre nouvel outil en vente dès aujourd’hui : une bande dessinée qui traverse les étapes cruciales du développement de l’enfant de 0 à 6 ans.

 

Mixité scolaire : que peuvent apporter les cours de récréation « non genrées » ?

Si la mixité scolaire représente un énorme progrès par rapport à une situation antérieure de ségrégation des sexes qui aboutissait à de plus grandes inégalités qu’aujourd’hui, son instauration n’a pas suffi seule à donner les mêmes chances aux filles et aux garçons. De nombreux travaux ont montré qu’il ne suffit pas de décréter la mixité (même si cela est nécessaire) pour que disparaisse la division sexuée des savoirs, des compétences et de l’orientation.

Bousculant les rapports sociaux de sexe, la mixité doit amener à construire un nouveau rapport de force entre les groupes en donnant une place à la coopération entre les filles et les garçons. De cette façon, une rupture avec la dissymétrie des statuts pourrait s’instaurer. Or, on constate aujourd’hui que la mixité scolaire conforte le concept social de domination masculine.

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